FRESSE SUR MOSELLE
Le miel « durable » du groupe Livio
(13 photos)
Si le terme « Durable » est traditionnellement
associé à la notion de longévité, de robustesse qui sied particulièrement bien
à une entreprise de BTP, son cœur de métier, le Groupe Livio aime à le
conjuguer avec préservation de l’environnement à tous les niveaux. Cela passe
par une gestion optimisée du personnel de façon à construire des liens durables
« Au sein de l’entreprise, nous employons des fils ou des petits-fils de
personnes qui ont travaillé chez nous » confie Isabelle Depa, responsable
commerciale et communication au sein du groupe. Cette philosophie s’applique
également au niveau de la relation avec les fournisseurs. « Nous avons
également, et depuis quelques années, développé une dimension respect de
l’environnement, en lien avec ce que l’on appelle aujourd’hui le développement
durable » ajoute-t-elle « Cela passe par différentes actions dans la
gestion et le tri de nos déchets, la priorité donnée aux circuits courts pour approvisionner
nos chantiers afin de favoriser l‘économie circulaire et puis ce projet à court
terme d’installer des panneaux photovoltaïques sur les toitures compatibles des
sites du groupe ». Des actions diverses et multiples afin de marquer
« au fer rouge » cette implication de l’entreprise dans le
« durable ».
Plus insolite est encore cette action qui a vu
l’installation de ruches sur la toiture végétalisée de la partie administrative
des bâtiments de l’entreprise. Une démarche que Sabine, l’épouse de Frédéric
Peduzzi, raconte dans le détail « Suite à une réflexion et des
propositions de Dominique (Peduzzi), nous
avons remplacé des espaces de pelouses par des champs fleuris, en privilégiant
les espèces mellifères, aptes à accueillir des insectes pollinisateurs. En pleine
concertation avec Frédéric et Anne-Claire Goulon, trois ruches ont été mises en
place avec la précieuse collaboration de Bernard Gehin, apiculteur expérimenté ».
Un duo – Sabine/Bernard - qui, depuis
lors, chouchoute ses protégées, des « Irlandaises » réputées calmes
et peu agressives, rendant régulièrement visite à ces colonies d’insectes si
précieux qui le leur rendent bien. « Notre première récolte a permis de
recueillir 50 kg de miel » précise Sabine « Cette production a été
répartie en petits pots qu’il n’a pas été question de vendre bien sûr !
Décorés d’une étiquette sympathique créée par Sabine, ces pots de « Miel
Livio » ont été offerts à certains clients ainsi qu’à une cinquantaine de
nos collaborateurs « Tirés au sort lors de notre journée sécurité »
précise Isabelle, la chargée de com.
Première visite 2021 assez décevante…
Récemment, Bernard et Sabine s’étaient donné rendez-vous pour une première visite aux trois ruches. L’objectif initial était de vérifier que les abeilles aient encore du stock de miel pour se nourrir, isoler une reine trop âgée pour la remplacer rapidement, et remettre quelques nouveaux cadres. Des objectifs qui n’ont malheureusement pas été atteints en totalité, car Dame Nature en a décidé autrement… Impossible de trouver la reine trop âgée, et puis surtout cette troisième ruche qui était quasiment vidée de sa colonie, victime d’après l’apiculteur d’un parasite, malgré la présence de bandes odorantes aux huiles essentielles installées dans la ruche pour la protéger. Par contre, dans les deux autres, les réserves étaient abondantes, de même que le couvain, c’est à dire l'ensemble des nymphes, des larves et des œufs protégés par les ouvrières. « Il faudra racheter un essaim » confiait Bernard qui prédisait déjà une récolte de miel moins abondante que l’année passée. Quand on travaille avec le vivant, il faut savoir faire acte d’humilité et en tirer des leçons…
Récemment, Bernard et Sabine s’étaient donné rendez-vous pour une première visite aux trois ruches. L’objectif initial était de vérifier que les abeilles aient encore du stock de miel pour se nourrir, isoler une reine trop âgée pour la remplacer rapidement, et remettre quelques nouveaux cadres. Des objectifs qui n’ont malheureusement pas été atteints en totalité, car Dame Nature en a décidé autrement… Impossible de trouver la reine trop âgée, et puis surtout cette troisième ruche qui était quasiment vidée de sa colonie, victime d’après l’apiculteur d’un parasite, malgré la présence de bandes odorantes aux huiles essentielles installées dans la ruche pour la protéger. Par contre, dans les deux autres, les réserves étaient abondantes, de même que le couvain, c’est à dire l'ensemble des nymphes, des larves et des œufs protégés par les ouvrières. « Il faudra racheter un essaim » confiait Bernard qui prédisait déjà une récolte de miel moins abondante que l’année passée. Quand on travaille avec le vivant, il faut savoir faire acte d’humilité et en tirer des leçons…