HAUTE MOSELLE
Assemblée générale de l’ADEMAT-H en visioconférence
Préalablement convoquée le 13 novembre dernier, l’assemblée générale annuelle de l’ADEMAT-H n’a pu se tenir, compte-tenu des mesures sanitaires. Jean Pierrel a donc décidé, en accord avec les administrateurs de l’association de défense de l’hôpital de Remiremont de convoquer à nouveau cette réunion statutaire le vendredi 5 février prochain, mais en visioconférence, cette fois. Chacun des adhérents a bien évidemment reçu le lien de connexion à cette réunion.
Comme toute assemblée générale qui se respecte, l’ordre du jour permettra de passer en revue les différents rapports : moral, activité 2019/2020, financier avant de procéder au renouvellement des membres du conseil d’administration et enfin résolution.
Il y sera bien évidemment question de la contribution citoyenne lancée par le PETR à laquelle chacun est invité à donner son avis jusqu’au 31 janvier au plus tard (lien : https://www.sondageonline.fr/s/5a234fc ou télécharger le questionnaire disponible ici). « Nous avons souhaité que le bassin de vie de Remiremont s’engage dans la construction d’un Contrat Local de Santé » explique Jean Pierrel « Cette enquête menée par le PETR doit permettre de construire un diagnostic de la santé du territoire et de ses habitants. Nous invitons chacun à répondre à ce questionnaire afin que la santé soit une priorité du projet de territoire ».
La situation du centre hospitalier sera bien évidemment au centre des débats avec, entre autres, le PMC : Projet Médical Commun « Qui porte la marque de nos mobilisations » commente Jean Pierrel qui reste d’une grande méfiance vis-à-vis de ces décideurs qu’il s’est « coltiné » à maintes reprises et qui n’en seraient pas à un nième tour de passe-passe. Des autorités qui persistent encore aujourd’hui, en pleine crise sanitaire, à priver de plus en plus les usagers locaux d’une proximité de soins via des mesures prises par l’Agence Régionale de Santé aux ordres du gouvernement.
Comme toute assemblée générale qui se respecte, l’ordre du jour permettra de passer en revue les différents rapports : moral, activité 2019/2020, financier avant de procéder au renouvellement des membres du conseil d’administration et enfin résolution.
Il y sera bien évidemment question de la contribution citoyenne lancée par le PETR à laquelle chacun est invité à donner son avis jusqu’au 31 janvier au plus tard (lien : https://www.sondageonline.fr/s/5a234fc ou télécharger le questionnaire disponible ici). « Nous avons souhaité que le bassin de vie de Remiremont s’engage dans la construction d’un Contrat Local de Santé » explique Jean Pierrel « Cette enquête menée par le PETR doit permettre de construire un diagnostic de la santé du territoire et de ses habitants. Nous invitons chacun à répondre à ce questionnaire afin que la santé soit une priorité du projet de territoire ».
La situation du centre hospitalier sera bien évidemment au centre des débats avec, entre autres, le PMC : Projet Médical Commun « Qui porte la marque de nos mobilisations » commente Jean Pierrel qui reste d’une grande méfiance vis-à-vis de ces décideurs qu’il s’est « coltiné » à maintes reprises et qui n’en seraient pas à un nième tour de passe-passe. Des autorités qui persistent encore aujourd’hui, en pleine crise sanitaire, à priver de plus en plus les usagers locaux d’une proximité de soins via des mesures prises par l’Agence Régionale de Santé aux ordres du gouvernement.
Un deuxième IRM !
« Si nous accueillons avec plaisir la demande de prêt de deux millions d’Euros pour investir à Remiremont, nous regrettons que l’achat d’un deuxième IRM – 600 000 € - qui fait pourtant défaut ne fasse pas partie des choix d’investissement » regrette le président « L’ADEMAT-H demande une augmentation de ce montant d’investissement afin de pouvoir équiper l’établissement de ce deuxième appareil qui permettrait de réduire les délais de rendez-vous qui tournent actuellement aux environs de trois mois. Nous demandons encore l’achat d’un outil de diagnostic afin d’améliorer la prise en charge des accidents neurovasculaires, point sur lesquelles les pertes de chance sont patentes ».
Et toujours à propos de cette stratégie qui fait dépérir le service public de santé, Jean Pierrel dénonce. « Nous constatons un gros problème de recrutement des médecins qui finissent par réduire l’offre de soins. Il est urgent de sortir de cette spirale ».
Une situation qui ne concerne, hélas, pas que l’établissement romarimontain. La coordination nationale déplore, dans son dernier communiqué « Entre obstination et condescendance, le gouvernement persiste à faire la sourde oreille ». Six mois après le « Ségur de la santé, le système de santé manque toujours de moyens. « Plusieurs centaines de fermetures de lits continuent à être actées sans justification » constatent les membres de la coordination nationale, accompagnées d’une « Dégradation de l’offre de soins et des conditions de travail des personnels qui ne permettent pas aux professionnels d’assurer leur mission de soin dans des conditions de qualité et de sécurité acceptables ». Comble de cette stratégie machiavélique « En pleine crise sanitaire, le financement de la loi de la sécurité sociale pour 2021 impose encore 900 millions d’économies ». L’ensemble de la population est donc invitée à rester mobilisée et rejoindre les mouvements dans les jours et les semaines à venir.
« Si nous accueillons avec plaisir la demande de prêt de deux millions d’Euros pour investir à Remiremont, nous regrettons que l’achat d’un deuxième IRM – 600 000 € - qui fait pourtant défaut ne fasse pas partie des choix d’investissement » regrette le président « L’ADEMAT-H demande une augmentation de ce montant d’investissement afin de pouvoir équiper l’établissement de ce deuxième appareil qui permettrait de réduire les délais de rendez-vous qui tournent actuellement aux environs de trois mois. Nous demandons encore l’achat d’un outil de diagnostic afin d’améliorer la prise en charge des accidents neurovasculaires, point sur lesquelles les pertes de chance sont patentes ».
Et toujours à propos de cette stratégie qui fait dépérir le service public de santé, Jean Pierrel dénonce. « Nous constatons un gros problème de recrutement des médecins qui finissent par réduire l’offre de soins. Il est urgent de sortir de cette spirale ».
Une situation qui ne concerne, hélas, pas que l’établissement romarimontain. La coordination nationale déplore, dans son dernier communiqué « Entre obstination et condescendance, le gouvernement persiste à faire la sourde oreille ». Six mois après le « Ségur de la santé, le système de santé manque toujours de moyens. « Plusieurs centaines de fermetures de lits continuent à être actées sans justification » constatent les membres de la coordination nationale, accompagnées d’une « Dégradation de l’offre de soins et des conditions de travail des personnels qui ne permettent pas aux professionnels d’assurer leur mission de soin dans des conditions de qualité et de sécurité acceptables ». Comble de cette stratégie machiavélique « En pleine crise sanitaire, le financement de la loi de la sécurité sociale pour 2021 impose encore 900 millions d’économies ». L’ensemble de la population est donc invitée à rester mobilisée et rejoindre les mouvements dans les jours et les semaines à venir.