LE THILLOT
Marguerite Marinoni dans le club fermé des Centenaires
Elle était émue de l’attention portée à elle pour célébrer
comme il se doit son centenaire. Marguerite Marinoni, avec toute l’humilité et
la joie qu’elle est encore capable d’exprimer a reçu les cadeaux de ses proches
dans le petit salon du rez-de-chaussée de l’hôpital thillotin.
Et même si la communication n’a pas été facile, étant peu avertie du fonctionnement de la tablette déployée par Marie Pierrel, cette « télé » a tout de même permis un brin de conversation avec sa fille Josiane et sa petite-fille Lise. Un moment précieux, pour celle dont Michel Mourot a rappelé le parcours en quelques mots. Née Marie Augusta Marguerite Vinckx le 18 janvier 1921 à Houwaat en Belgique, elle avait uni sa destinée à Fortuna Marinoni, ancien déportée qu’elle a eu le malheur de perdre en 1992. De leur union sont nées deux filles : Josiane, demeurant dans les Yvelines, elle-même mère de deux enfants, dont un est aujourd’hui disparu, et deux petits-enfants et Francine, aujourd’hui décédée, qui a donné naissance à deux enfants, la lignée étant assurée avec trois petits-enfants.
Et même si la communication n’a pas été facile, étant peu avertie du fonctionnement de la tablette déployée par Marie Pierrel, cette « télé » a tout de même permis un brin de conversation avec sa fille Josiane et sa petite-fille Lise. Un moment précieux, pour celle dont Michel Mourot a rappelé le parcours en quelques mots. Née Marie Augusta Marguerite Vinckx le 18 janvier 1921 à Houwaat en Belgique, elle avait uni sa destinée à Fortuna Marinoni, ancien déportée qu’elle a eu le malheur de perdre en 1992. De leur union sont nées deux filles : Josiane, demeurant dans les Yvelines, elle-même mère de deux enfants, dont un est aujourd’hui disparu, et deux petits-enfants et Francine, aujourd’hui décédée, qui a donné naissance à deux enfants, la lignée étant assurée avec trois petits-enfants.
Trente années comme lingère à l’hôpital
Au plan professionnel, le maire de la commune rappelait les années de labeur de
celle qui avait décidé, à son arrivée ne France, de faire appeler Marguerite. Au Tissage Georges d’abord, puis
durant 30 années, comme lingère à
l’Hôpital local. Un lieu qu’elle connaissait donc parfaitement au moment où
elle l’a intégré comme résidente cette fois le 1er octobre 2014.Le directeur de l’hôpital s’est plu, lui aussi, à féliciter celle qui, avec régularité, partage son café du matin et lui a promis l’arrivée prochaine d’une image du Conseil Départemental, signée le la main de son président François Vannson.
Il restait au personnel à apporter le superbe gâteau d’anniversaire préparé en cuisine et le présenter à la centenaire après l’avoir décoré de bougies et de cartouches à étincelles. Une gâterie accompagnée d’une coupe de Champagne que Marie-Claude Dubois s’est fait un plaisir de verser dans les flûtes pour les invités du jour.