LE THILLOT
Renaissance du CST
Le Club Sportif Thillotin, prestigieux
club plus que centenaire, vainqueur du groupe Est de Championnat de
France Amateur en 1950 qui permettait aux « Tanneurs »
comme on les appelait de disputer la finale du championnat de France,
le CST était tombé bien bas. « Deux joueurs jeunes avaient
pris leur licence il y a deux ans » confesse « Miguel »
l’inusable secrétaire du club. Une situation compliquée qui s’est
fort heureusement redressée pour passer à vingt-quatre l’an
dernier et une quarantaine cette année. « Nous avons rencontré
de gros problème d’encadrement » explique Miguel « Mais
aujourd’hui nous avons pu engager des équipes de jeunes, dès 6
ans et jusque 15 ans.
A la barre, Rufino Fonseca et Yves Humblot, ainsi que Thierry Fleuriot, Medlin Gérardin et Mathias Cardoso donnent de leur temps sans compter pour redresser la barre et encadrer les jeunes pousses du CST.
« Nous menons un travail en profondeur » reprend Miguel « Tant au niveau des joueurs qui reviennent pour certains, et du comité qui s’est restructuré afin d’avoir une assise stable ». Un comité de seize personnes très impliquées, à la tête duquel Burhan Albayrak a été élu à l’occasion de la dernière assemblée générale.
A la barre, Rufino Fonseca et Yves Humblot, ainsi que Thierry Fleuriot, Medlin Gérardin et Mathias Cardoso donnent de leur temps sans compter pour redresser la barre et encadrer les jeunes pousses du CST.
« Nous menons un travail en profondeur » reprend Miguel « Tant au niveau des joueurs qui reviennent pour certains, et du comité qui s’est restructuré afin d’avoir une assise stable ». Un comité de seize personnes très impliquées, à la tête duquel Burhan Albayrak a été élu à l’occasion de la dernière assemblée générale.
L’ancien
excellent joueur des « rouge et blanc », victime d’un
grave accident de la circulation et aujourd’hui cloué sur un
fauteuil, a de plus souhaité conserver son poste de trésorier.
Du côté des seniors, malgré un effectif de 29 licenciés, le club a eu toutes les peines du monde à terminer la saison. Deux équipes sont engagées en championnat cette année, sous la conduite de « Momo » Yildiz qui s’occupe de les coacher. « On a remarqué un bon regain de motivation chez les joueurs qui sont assidus aux entrainements » constate Miguel avec satisfaction.
Les résultats en compétition sont aujourd’hui assez irréguliers « Mais il nous faut un peu de temps pour faire l’amalgame » plaide confiant le secrétaire du club thillotin « Notre objectif n’est pas de jouer la montée cette année, mais de pérenniser le groupe. Il en va de même chez les jeunes, avec une bonne participation des parents ».
Du coup, le CST se positionne à nouveau sur le calendrier des manifestations pour mener des opérations d’autofinancement qui lui permettront de faire face aux dépenses et créer une dynamique. Il est d’ores et déjà question d’un loto, d’un tournoi et de fêter Noël.
Du côté des seniors, malgré un effectif de 29 licenciés, le club a eu toutes les peines du monde à terminer la saison. Deux équipes sont engagées en championnat cette année, sous la conduite de « Momo » Yildiz qui s’occupe de les coacher. « On a remarqué un bon regain de motivation chez les joueurs qui sont assidus aux entrainements » constate Miguel avec satisfaction.
Les résultats en compétition sont aujourd’hui assez irréguliers « Mais il nous faut un peu de temps pour faire l’amalgame » plaide confiant le secrétaire du club thillotin « Notre objectif n’est pas de jouer la montée cette année, mais de pérenniser le groupe. Il en va de même chez les jeunes, avec une bonne participation des parents ».
Du coup, le CST se positionne à nouveau sur le calendrier des manifestations pour mener des opérations d’autofinancement qui lui permettront de faire face aux dépenses et créer une dynamique. Il est d’ores et déjà question d’un loto, d’un tournoi et de fêter Noël.
Et l’intercommunalité ?
« Il y a quelques années, j’ai multiplié les contacts afin de créer des liens entre le CST et d’autres clubs du secteur » confie Miguel Petitjean « En dehors d’une expérience qui n’aura duré que deux ans avec le club de Rupt, une expérience heureuse puisque cette année-là, nous avons gagné trois coupes des Vosges et un titre en championnat, avant que l’entente tombe à l’eau ». Pour les autres tentatives, elles se sont toutes soldées par un échec. « Alors qu’ailleurs, ça marche ! » s’exclame-t-il avant de s’interroger « L’esprit de clocher serait-il plus développé ici qu’ailleurs ? »
« Il y a quelques années, j’ai multiplié les contacts afin de créer des liens entre le CST et d’autres clubs du secteur » confie Miguel Petitjean « En dehors d’une expérience qui n’aura duré que deux ans avec le club de Rupt, une expérience heureuse puisque cette année-là, nous avons gagné trois coupes des Vosges et un titre en championnat, avant que l’entente tombe à l’eau ». Pour les autres tentatives, elles se sont toutes soldées par un échec. « Alors qu’ailleurs, ça marche ! » s’exclame-t-il avant de s’interroger « L’esprit de clocher serait-il plus développé ici qu’ailleurs ? »