FERDRUPT
Deux chœurs pour un chœur
Deux heures durant, les voûtes de l’église St Vincent de
Paul ont résonné des chants des deux chœurs installés dans le chœur de l’édifice
qui ont enchanté le nombreux public qui avait rempli les bancs de la nef.
Une double prestation chaleureusement applaudie au cours de laquelle tour à tour, puis ensemble, les deux formations ont démontré leurs talents.
La Cantarelle, première en action, sous la direction de son infatigable chef Paul Broggi, a déroulé son répertoire du jour, court mais intense, passant du negro-spiritual au sacré, du chant traditionnel corse à la variété avec cette adaptation de la « La petite fugue » de Maxime le Forestier. Un copieux hors d’œuvre avant que le chœur Faridol, dont le sens en vieux français est proche de tromperie, a démontré de superbe façon que cette signification était totalement fausse.
Une double prestation chaleureusement applaudie au cours de laquelle tour à tour, puis ensemble, les deux formations ont démontré leurs talents.
La Cantarelle, première en action, sous la direction de son infatigable chef Paul Broggi, a déroulé son répertoire du jour, court mais intense, passant du negro-spiritual au sacré, du chant traditionnel corse à la variété avec cette adaptation de la « La petite fugue » de Maxime le Forestier. Un copieux hors d’œuvre avant que le chœur Faridol, dont le sens en vieux français est proche de tromperie, a démontré de superbe façon que cette signification était totalement fausse.
Quelques fois accompagné d’un violon, le chœur d’hommes de
Laxou-Nancy, l’ensemble Meurthe et Mosellan a passé en revue un panel très
varié de styles musicaux sous la direction de ses « Deux
Pierre », explorant une large palette de styles allant du célèbre et
traditionnel « « Greensleeves »
anglais à « Armstrong » de Nougaro en passant par des extraits
de la 7ème de Beethoven et du « Livre de la Jungle » ou encore cet passage sublime de la musique du
film « 1492 » de Vangelis. Un récital qui était également une
invitation au voyage avec ce Noël de la région de Cordoue, cette chanson
tchécoslovaque ou cette pièce empruntée à la liturgie Russe…
En guise de conclusion, les deux formations fusionnaient pour un double final, permettant notamment de reprendre en apothéose le magnifique « Chœur des esclaves » du Nabucco de Verdi, ovationné par le public.
En guise de conclusion, les deux formations fusionnaient pour un double final, permettant notamment de reprendre en apothéose le magnifique « Chœur des esclaves » du Nabucco de Verdi, ovationné par le public.