FRESSE SUR MOSELLE
Dégradations au chalet de l’étang
du Frac : 3 individus condamnés
Trois personnes, deux de 20 ans et une de 25 ans, ont été condamnées par le tribunal d’Epinal suite aux dégradations commises au chalet de l’étang du Frac dans la nuit du 8 au 9 mai dernier.
Partis pour une partie de pêche, le trio s’en est pris au mobilier et aux fenêtres du chalet sous l’effet conjugué de l’alcool et de stupéfiants. Interpellés par les gendarmes une semaine après leurs méfaits, ils passaient en comparution immédiate ce mardi devant le juge.
L’ainé, récidiviste pour vol en réunion, et sorti de sa cellule pour assister à l'audience, a été condamné à 6 mois de prison, dont 3 avec sursis et une mise à l’épreuve de 2 ans et quelques obligations diverses, tandis que ses complices s’en tiraient avec 3 mois avec sursis, avec obligation d’effectuer un travail d’intérêt général.
Le trio a de plus
été condamné à verser 3050 Euros à la société de pêche ou à
la mairie dans le cadre du dédommagement couvert par l’assurance,
et 200 Euros à la propriétaire d’une maison située au Thillot
que deux des trois individus avaient pris pour cible au cours de leur
folle cavale nocturne en y mettant le feu, demeure inhabitée au
moment des faits.
Alain Fréchin, le président des pêcheurs était présent à l’audience. « Je suis satisfait » confie-t-il « J’espère que ces peines vont dissuader tous ceux qui auraient envie de reproduire ce type de dégradations ». Le président de l’APPMA poursuit : « Les deux qui ne sont pas en prison sont à nouveau convoqués le 30 juillet pour la mise au point des travaux d’intérêt général. On verra bien, mais ils sont d’accord pour les effectuer. J’ai discuté avec eux. Ils semblent avoir compris la gravité de la situation et regrettent totalement leurs conneries ».
Alain Fréchin, le président des pêcheurs était présent à l’audience. « Je suis satisfait » confie-t-il « J’espère que ces peines vont dissuader tous ceux qui auraient envie de reproduire ce type de dégradations ». Le président de l’APPMA poursuit : « Les deux qui ne sont pas en prison sont à nouveau convoqués le 30 juillet pour la mise au point des travaux d’intérêt général. On verra bien, mais ils sont d’accord pour les effectuer. J’ai discuté avec eux. Ils semblent avoir compris la gravité de la situation et regrettent totalement leurs conneries ».