FRESSE SUR MOSELLE
Etang du Frac : du grand
« n’importe quoi » !
Comment un havre de tranquillité
peut-il devenir ce dépotoir et défouloir de personnes qui, sans
aucun scrupule, ne viennent sur place que pour polluer et détruire ?
Un système de vidéosurveillance va être étudié.
Pour la troisième
fois cette année, Alain Fréchin a déposé plainte à la
gendarmerie suite à de nouvelles dégradations au chalet de l’étang
du Frac. Les faits se sont produits dans la nuit de jeudi à vendredi
dernier. « J’ai été averti par Laurent Joly qui a racheté
la ferme au-dessus de l’étang et qui s’est rendu compte de la
situation vers 10h30 » raconte le président qui s’est
rapidement rendu sur place « Vantaux de fenêtres démontés et
installés à proximité immédiate de la terrasse bétonnée du
chalet, surmontés d’un banc pris à l’intérieur du chalet et
des trois tables de l’extérieur » raconte-t-il « C’était
encore fumant au moment où je suis arrivé. Heureusement qu’il a
plus cette nuit-là, sinon le feu se serait propagé au chalet et
peut-être même à la forêt ! ». Pour Alain Fréchin,
plus que dépité, le doute n’est pas permis : « Il y
avait volonté de vandaliser les lieux ! ». Le président
a donc passé une grande partie de sa journée à effectuer les
démarches nécessaires auprès de la gendarmerie et de la mairie. Si
l’estimation précise des dégâts n’est pas encore effectuée,
la facture semble d’ores et déjà être « salée ».
Alain Fréchin évalue à environ 250 Euros un vantail de fenêtre et
quelques 300 Euros la table. « Nous allons voir avec la mairie
s’il est possible de faire prendre en charge pour tout ou partie
par une assurance » confie-t-il « Nous avons quelques
fois bénéficié de l’aide précieuse de l’entreprise Croizier,
mais cette aide n’est pas éternelle… », avant de commenter
avec une pointe d’humour désabusé « Faut-il lancer une
cagnotte comme pour Notre Dame ? »…
Au-delà des faits, la réflexion s’oriente bien évidemment sur la prévention de ces dégradations successives. « Mettre en place une barrière est inenvisageable » confie-t-il « Laurent Joly doit pouvoir accéder à sa propriété ainsi que les personnes qui lui rendent visite, notamment le facteur ». Les pistes s’orientent donc vers l’étude pour la mise en place d’un système de vidéosurveillance.
Un système qui pourrait également décourager certaines personnes peu respectueuses du site qui, dernier exemple en date, ont déposé un tas de dalles plastique du côté de la digue de l’étang…
Au-delà des faits, la réflexion s’oriente bien évidemment sur la prévention de ces dégradations successives. « Mettre en place une barrière est inenvisageable » confie-t-il « Laurent Joly doit pouvoir accéder à sa propriété ainsi que les personnes qui lui rendent visite, notamment le facteur ». Les pistes s’orientent donc vers l’étude pour la mise en place d’un système de vidéosurveillance.
Un système qui pourrait également décourager certaines personnes peu respectueuses du site qui, dernier exemple en date, ont déposé un tas de dalles plastique du côté de la digue de l’étang…