SAINT MAURICE SUR MOSELLE
Farandole : l’utile et
l’agréable…
S’il est des
manifestations sympathiques, celles qui permettent de joindre l’utile
et l’agréable font partie de ces animations qui revêtent un
caractère tout particulier. C’est le cas des deux soirées
café-théâtre proposées vendredi et samedi à la SMA par la
Farandole. Soirée décontractée pour le public – un peu moins
pour la troupe des Fremizzz, qui s’en est cependant donné à cœur
joie – et très utile pour la trésorerie de la structure
associative qui a besoin de ces opérations d’autofinancement pour
mener à bien ses missions. Des objectifs multiples que s’est plu à
rappeler Tony Zucchetto au moment de lancer la soirée : crèche,
accueil périscolaire, cantine, centre aéré, voyages à
Saint-Paterne. Le président insistait particulièrement sur le
recrutement de bénévoles : « Que ce soit pour
manifestation, pour deux ou pour toutes, vous êtes les
bienvenu(e)s » plaidait-il avant de regretter l’absence du
jour de la troupe des enfants « Faute de temps de la part des
encadrants habituels ». Une absence qui, selon son analyse, est
à l’origine de la baisse de fréquentation de ce spectacle qui a
cependant permis de rassembler un public conséquent.
Les traditionnels trois coups donnaient le coup d’envoi de la soirée avec, dans un premier temps, des sketches « Brèves de trottoirs » aux connotations « olé olé » assez marquées, mais traitées de manière très humoristique laissant une belle place à l’absurde et quelques fois au rêve. Les comédiens se lâchaient avec enthousiasme sur la scène, provoquant de nombreux rires, renforcés par des situations de quelques trous de mémoire gérés avec humour.
Le temps d’une pause boisson-dessert et le spectacle pouvait reprendre avec la pièce de Paul Cote : « Ah ! Quelle agence », une comédie burlesque, rythmée, enchaînant les quiproquos, ayant pour cadre une agence de travail temporaire et mettant en scène des personnages aussi caricaturaux que sympathiques.
Les traditionnels trois coups donnaient le coup d’envoi de la soirée avec, dans un premier temps, des sketches « Brèves de trottoirs » aux connotations « olé olé » assez marquées, mais traitées de manière très humoristique laissant une belle place à l’absurde et quelques fois au rêve. Les comédiens se lâchaient avec enthousiasme sur la scène, provoquant de nombreux rires, renforcés par des situations de quelques trous de mémoire gérés avec humour.
Le temps d’une pause boisson-dessert et le spectacle pouvait reprendre avec la pièce de Paul Cote : « Ah ! Quelle agence », une comédie burlesque, rythmée, enchaînant les quiproquos, ayant pour cadre une agence de travail temporaire et mettant en scène des personnages aussi caricaturaux que sympathiques.