VICTOIRE
DU 8 MAI 1945
Un
message à méditer…
A
l’occasion des cérémonies marquant le 74ème
anniversaire de la capitulation du régime nazi, des textes ont été
lus partout dans l’Hexagone devant les monuments aux Morts, dont
celui de l’UFAC. Un texte synthétique, mais essentiel dans lequel
les rédacteurs mettent en avant le triomphe de la Liberté sur la
barbarie, la mémoire de Jean Moulin premier Président du Conseil
National de la Résistance.
Une apologie de la Résistance à l’oppression qui, au-delà du contexte de cette seconde guerre mondiale, se veut, se doit d’être intemporelle.
Au-delà des faits historiques, l’UFAC déplore « En cette journée où les Françaises et les Français se souviennent et ont conscience que la Paix et les valeurs humanistes qui sont les leurs sont particulièrement fragiles, ils regrettent que les espérances nées de cette victoire historique du 8 Mai 1945 soient bafouées, le monde connaissant encore aujourd'hui, des situations de guerre, de violence et de haine » avant de lancer un message fort: « L'Union Française des Associations de Combattants et de Victimes de Guerre (UFAC), invite donc chacune et chacun, particulièrement les jeunes, à œuvrer pour un monde de Fraternité, de Solidarité et de Paix ». Un plaidoyer dont chacun ferait bien de s’imprégner, à l’heure où certains n’hésitent pas à succomber aux pièges démagogiques de ces « Hitler en herbe » qui prônent le rejet de certains, arguant qu’ils sont « différents » - un thème ayant permis l’accession du dictateur nazi au pouvoir et ses conséquences aussi néfastes que dramatiques, qui prend aujourd’hui trop souvent la forme d’un rejet, voire d’une haine envers ceux qui, loin de leurs pays, tentent de venir chercher quelque réconfort loin de la guerre et la misère.
Un message fort qui a souvent été lu par des jeunes, mais qui s’adresse à tous.
Il est à noter que les cérémonies du Ménil ont été accompagnées par une délégation de l’Amicale des Parachutistes des Vosges et que, dans le public, Jean-Aimé Morizot, vice-président cantonal du Souvenir Français expliquait à propos de l’éclatement des cérémonies dans toutes les communes : « Les cérémonies qui passent en statut cantonal sont celles qui risquent de disparaitre par manque de public ». L’éparpillement des cérémonies reste donc à l’ordre du jour, même si cela pose problème à certains comme, entre autres, à Lucrèce Kunze, élue de Fresse sur Moselle, mobilisée sur les cérémonies de sa commune, qui est empêchée d’emmener sa fille, musicienne à l’UMT, aux cérémonies du Thillot.
Une apologie de la Résistance à l’oppression qui, au-delà du contexte de cette seconde guerre mondiale, se veut, se doit d’être intemporelle.
Au-delà des faits historiques, l’UFAC déplore « En cette journée où les Françaises et les Français se souviennent et ont conscience que la Paix et les valeurs humanistes qui sont les leurs sont particulièrement fragiles, ils regrettent que les espérances nées de cette victoire historique du 8 Mai 1945 soient bafouées, le monde connaissant encore aujourd'hui, des situations de guerre, de violence et de haine » avant de lancer un message fort: « L'Union Française des Associations de Combattants et de Victimes de Guerre (UFAC), invite donc chacune et chacun, particulièrement les jeunes, à œuvrer pour un monde de Fraternité, de Solidarité et de Paix ». Un plaidoyer dont chacun ferait bien de s’imprégner, à l’heure où certains n’hésitent pas à succomber aux pièges démagogiques de ces « Hitler en herbe » qui prônent le rejet de certains, arguant qu’ils sont « différents » - un thème ayant permis l’accession du dictateur nazi au pouvoir et ses conséquences aussi néfastes que dramatiques, qui prend aujourd’hui trop souvent la forme d’un rejet, voire d’une haine envers ceux qui, loin de leurs pays, tentent de venir chercher quelque réconfort loin de la guerre et la misère.
Un message fort qui a souvent été lu par des jeunes, mais qui s’adresse à tous.
Il est à noter que les cérémonies du Ménil ont été accompagnées par une délégation de l’Amicale des Parachutistes des Vosges et que, dans le public, Jean-Aimé Morizot, vice-président cantonal du Souvenir Français expliquait à propos de l’éclatement des cérémonies dans toutes les communes : « Les cérémonies qui passent en statut cantonal sont celles qui risquent de disparaitre par manque de public ». L’éparpillement des cérémonies reste donc à l’ordre du jour, même si cela pose problème à certains comme, entre autres, à Lucrèce Kunze, élue de Fresse sur Moselle, mobilisée sur les cérémonies de sa commune, qui est empêchée d’emmener sa fille, musicienne à l’UMT, aux cérémonies du Thillot.