HÔPITAL DE REMIREMONT
Une situation
« cruciale »
Si la pose de nombreuses banderoles à
l’entrée des communes du secteur de Remiremont en conclusion d’une
grosse mobilisation d’information et de communication est un point
satisfaction pour les responsables de l’ADEMAT-H, la concertation
souhaitée dans le cadre d’un grand séminaire échelonné sur
plusieurs séquences avec toutes les parties (ARS, Conseil
Départemental, CPAM, PETR, communes, associations, syndicats…)
n’a, pour l’instant pas pu se mettre en place. « La
première étape était programmée pour le 29 mars dernier »
expliquent les défenseurs de l’hôpital de Remiremont, avant de
déplorer « Malheureusement, certains veulent jouer leur
propre partie en refusant que tous les acteurs concernés s’assoient
à la même table ».
« L’objectif est ambitieux » reconnaissent les dirigeants de l’ADEMAT-H, puisqu’il s’agit ni plus ni moins de définir un contrat local de santé prenant en considération tous les aspects : santé bien sûr, mais aussi emploi, économie…
Face à ce blocage que l’ADEMAT-H espère temporaire, le président du PETR a été relancé afin d’obtenir un rendez-vous rapide et la négociation d’un calendrier à effet immédiat. De même, François Vannson, président du Département, a lui aussi été relancé pour une rencontre urgente afin « De lever les incompréhensions, prendre connaissance de sa mission de médiation et examiner la complémentarité possible et souhaitable avec le plan santé du département » détaille l’ADEMAT-H « Il est important que « La Vie en Vosges » ne se décline pas à la forme négative ».
Car pendant ce temps-là, l’ARS poursuit son œuvre destructrice en imposant son tant décrié contrat de performance, « Sa réponse au grand débat, aux multiples contributions et interpellations venues de toute sparts demandant un moratoire sur la fermeture des services publics » déplorent les chefs de file de l’ADEMAT-H qui continuent de dénoncer avec virulence ce qu’ils nomment « le diktat » de l’ARS et en appellent au rejet de ce plan au nom de la prise en compte de la spécificité du territoire en respect de la Loi Montagne et du principe d’exception territoriale.
« L’objectif est ambitieux » reconnaissent les dirigeants de l’ADEMAT-H, puisqu’il s’agit ni plus ni moins de définir un contrat local de santé prenant en considération tous les aspects : santé bien sûr, mais aussi emploi, économie…
Face à ce blocage que l’ADEMAT-H espère temporaire, le président du PETR a été relancé afin d’obtenir un rendez-vous rapide et la négociation d’un calendrier à effet immédiat. De même, François Vannson, président du Département, a lui aussi été relancé pour une rencontre urgente afin « De lever les incompréhensions, prendre connaissance de sa mission de médiation et examiner la complémentarité possible et souhaitable avec le plan santé du département » détaille l’ADEMAT-H « Il est important que « La Vie en Vosges » ne se décline pas à la forme négative ».
Car pendant ce temps-là, l’ARS poursuit son œuvre destructrice en imposant son tant décrié contrat de performance, « Sa réponse au grand débat, aux multiples contributions et interpellations venues de toute sparts demandant un moratoire sur la fermeture des services publics » déplorent les chefs de file de l’ADEMAT-H qui continuent de dénoncer avec virulence ce qu’ils nomment « le diktat » de l’ARS et en appellent au rejet de ce plan au nom de la prise en compte de la spécificité du territoire en respect de la Loi Montagne et du principe d’exception territoriale.