Conseil
municipal : le dossier éclairage public sur la table
Pour la seconde
fois cette année, le conseil municipal s’est réuni dans
l’urgence. Jean-François Viry expliquait cette convocation par la
nécessité de prendre une nouvelle délibération concernant la
demande de subvention au Parc des Ballons afin de ne pas retarder les
travaux de rénovation de l’éclairage public. Pour cela, il était
nécessaire que la commune accepte d’adhérer au groupement via une
convention.
Rappelons que lors de la séance du 22 janvier
dernier, les édiles avaient validé le dossier pour un montant total
proche de 68 000 Euros, concernant le remplacement de 91
luminaires, auxquels avaient été adjoints 23 luminaires
supplémentaires aux Croisettes et 10 luminaires routiers, complétés
par une étude diagnostic d’un montant proche de 10 000
Euros.
Pour financer ce dossier, une demande de subvention d’un
montant d’environ 21 000 Euros était escomptée au titre de
la DETR (Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux).
Compteurs
d’eau
Préalablement à ce second et dernier point de l’ordre
du jour de ce mini-conseil, les élus avaient validé un transfert de
trésorerie de 3000 Euros afin de pouvoir régler une facture de
4 479 Euros concernant le logiciel de gestion des télé relevés
des compteurs d’eau.
Informations diverses
La séance, de très courte durée, s’est
terminée avec les traditionnelles informations diverses qui ont à
elles seules absorbé plus de temps que les deux points de l’ordre
du jour.
- Maison Noël : en premier lieu, Jean-François
Viry annonçait le prochain dénouement « Enfin »
commentait-il -concernant la maison Noël au carrefour de la rue de
la Mouline et la RD486. « J’ai réussi à obtenir que le
propriétaire nous cède ce bâtiment pour un montant de 3500 Euros.
Nous avions prévu 7500 Euros pour cette opération qui va engendrer
des frais de démolition et probablement de renforcement du mur côté
route départementale » expliquait le premier magistrat qui
avouait par ailleurs avoir sorti « l’artillerie lourde »
pour décoincer le dossier en menaçant le propriétaire de prendre
un arrêté de péril. Un courrier va donc partir de la mairie pour
recueillir le consentement officiel du propriétaire.
-
Limitation de vitesse : ayant constaté que de trop nombreux
véhicules roulent trop vite et présentent donc un danger potentiel
dans les rues des Vieux Moulins et du Surdelot, le premier magistrat
a décidé de limiter la vitesse à 30 km/h.